Le coin des débordements
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Bandeau (coiffure)
Pour les articles homonymes, voir bandeau.Bandeau
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Différentes sortes de bandeaux ou serre-têtes, fonctionnels ou décoratifs, ont été et sont encore des accessoires de coiffure et de mode utilisés depuis plusieurs siècles ou millénaires. Le bandeau consiste en une pièce de tissu, coupée ou pliée en bande qui se place, plus ou moins serrée autour de la tête. Il a pu évoluer vers le turban et certaines coiffes.
Sommaire
1 Histoire 2 Le serre-tête 3 Chez les sportifs 4 Autres usages contemporains 5 Notes et références 6 Articles connexes
Histoire
Le bandeau est un accessoire de mode ancien dont on trouve déjà trace au Moyen Âge (par exemple au XIe siècle pour maintenir les voiles en place).
Crâne d'un individu de la civilisation Nazca déformé par l'usage d'un bandeau serré durant la croissance du nourrisson. Des déformations de ce type mais moins importantes étaient encore observées en France au XIXe siècle1, surtout chez les filles, mais parfois aussi chez les garçons.
Certains accessoires semblables mais à la fonction différente ont été retrouvés en France (par exemple dans les Deux-Sèvres au XIXe siècle) ou dans la civilisation Nazca. Fortement serré autour de la tête des nourrissons, il déformait le crâne et collait les oreilles au crâne (plus longtemps chez les filles en France dans certaines régions, jusqu'au XIXe siècle). Il pourrait dans ces cas avoir été source de pathologies ou au moins de déformation importante1, surtout quand son utilisation était accompagnée ou suivie de celle de l'arcelet.
Cet arcelet avait pour le bonnet ruche médiéval parfois garni de coques de rubans fonction de ressort qui serrait les tempes, et ainsi tenait lieu de brides au dit-bonnet2.
Selon le Dr Delisle qui dans la seconde moitié du XIXe siècle a étudié les déformations crâniennes observées chez de nombreuses femmes et certains hommes en France, notamment dans les asiles, la forme allongée produite sur le crâne l'était contre le désir des mères, mais résultant de « l'influence du serre-tête ou béguin dont on coiffe le nouveau-né. Cette coiffure n'est pas trop serrée au moment où on la met en place; mais comme on ne l'enlève pas pendant des semaines et des. mois, l'usage étant de ne jamais laver la tête des enfants et de respecter la calotte de crasse qui se forme sur le cuir chevelu, et comme, d'autre part, la croissance de l'encéphale à cet âge est extrêmement rapide, il s'ensuit que la constriction exercée par le serre-tête augmente de jour en jour, si bien que l'encéphale ne peut plus s'accroître que dans le sens antéro-postérieur. Au bout de très peu de temps, lorsqu'on renouvelle le bonnet de l'enfant ou qu'il tombe par vétusté, la déformation est accomplie. »1.
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Différentes sortes de bandeaux ou serre-têtes, fonctionnels ou décoratifs, ont été et sont encore des accessoires de coiffure et de mode utilisés depuis plusieurs siècles ou millénaires. Le bandeau consiste en une pièce de tissu, coupée ou pliée en bande qui se place, plus ou moins serrée autour de la tête. Il a pu évoluer vers le turban et certaines coiffes.
Sommaire
1 Histoire 2 Le serre-tête 3 Chez les sportifs 4 Autres usages contemporains 5 Notes et références 6 Articles connexes
Histoire
Le bandeau est un accessoire de mode ancien dont on trouve déjà trace au Moyen Âge (par exemple au XIe siècle pour maintenir les voiles en place).
Crâne d'un individu de la civilisation Nazca déformé par l'usage d'un bandeau serré durant la croissance du nourrisson. Des déformations de ce type mais moins importantes étaient encore observées en France au XIXe siècle1, surtout chez les filles, mais parfois aussi chez les garçons.
Certains accessoires semblables mais à la fonction différente ont été retrouvés en France (par exemple dans les Deux-Sèvres au XIXe siècle) ou dans la civilisation Nazca. Fortement serré autour de la tête des nourrissons, il déformait le crâne et collait les oreilles au crâne (plus longtemps chez les filles en France dans certaines régions, jusqu'au XIXe siècle). Il pourrait dans ces cas avoir été source de pathologies ou au moins de déformation importante1, surtout quand son utilisation était accompagnée ou suivie de celle de l'arcelet.
Cet arcelet avait pour le bonnet ruche médiéval parfois garni de coques de rubans fonction de ressort qui serrait les tempes, et ainsi tenait lieu de brides au dit-bonnet2.
Selon le Dr Delisle qui dans la seconde moitié du XIXe siècle a étudié les déformations crâniennes observées chez de nombreuses femmes et certains hommes en France, notamment dans les asiles, la forme allongée produite sur le crâne l'était contre le désir des mères, mais résultant de « l'influence du serre-tête ou béguin dont on coiffe le nouveau-né. Cette coiffure n'est pas trop serrée au moment où on la met en place; mais comme on ne l'enlève pas pendant des semaines et des. mois, l'usage étant de ne jamais laver la tête des enfants et de respecter la calotte de crasse qui se forme sur le cuir chevelu, et comme, d'autre part, la croissance de l'encéphale à cet âge est extrêmement rapide, il s'ensuit que la constriction exercée par le serre-tête augmente de jour en jour, si bien que l'encéphale ne peut plus s'accroître que dans le sens antéro-postérieur. Au bout de très peu de temps, lorsqu'on renouvelle le bonnet de l'enfant ou qu'il tombe par vétusté, la déformation est accomplie. »1.
pardon?
faut envoyer ses cours là ou quoi
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Jépacompri.
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France
En France, le premier journal imprimé est La Gazette, créé par Théophraste Renaudot, publiée à Paris entre mai 1631 et le 30 septembre 1915 et qui paraît toujours aujourd'hui sous le nom de Petites Affiches. Avec l'industrialisation de la presse écrite, de grands noms de journaux se sont créés, et le terme a servi à désigner à la fois le support physique de l'information (le journal en papier journal) et la société éditrice : le journal employant des journalistes et des reporters. Les plus anciens quotidiens français encore publiés sont, par ordre d'âge, Le Figaro (1826), Le Progrès (1859), La Dépêche du Midi (1870), La Croix (1880), Ouest-Éclair (1899) puis Ouest France (1944), Les Échos (1904) et L’Humanité (1904).
La façon même de présenter l'information de manière synthétique et thématique a été reprise par d'autres médias : la radio, puis la télévision, qui ont également repris le terme journal pour désigner l'émission dans laquelle un présentateur donne les informations du jour. Le premier journal télévisé français a été diffusé en 1949 par la RTF.
États-Unis
Le premier journal imprimé aux États-Unis fut publié le 25 septembre 1690 et portait le titre de Publick Occurrences Both Forreign and Domestick, premier journal à paraître sur le continent nord-américain. Le second à paraître fut The Boston News-Letter (en) vu comme étant le premier journal à paraître de façon continue dans les Treize Colonies de l'Empire britannique en Amérique du Nord. Sa première publication parut le 24 avril 1704 pour cesser en 17762.
Canada
Le premier journal à paraître dans ce qui deviendra l'une des provinces canadiennes fut le Halifax Gazette (en) qui parut dans ce qui est aujourd'hui la capitale de la Nouvelle-Écosse et dont la première publication eut lieu le 13 mars 1752. John Bushell (en) fut celui qui imprima le premier numéro. Le Halifax Gazette est connu comme étant le troisième plus vieux journal imprimé en Amérique du Nord2. Historiquement toutefois, cette partie de la Nouvelle-Écosse actuelle était à cette époque (1752) une colonie britannique (elle ne devint l'une des quatre provinces fondatrices du Canada qu'en 1867).
Le premier journal à paraître dans le Bas-Canada fut la Gazette de Québec (en anglais Quebec Gazette). Fondé en 1764 à Québec par deux journalistes et imprimeurs de Philadelphie, Thomas Gilmore et William Brown3. C'est un journal bilingue connu pour être le plus vieux journal d'Amérique du Nord toujours existant, il a été publié pour la première fois le 21 juin 1764.
C'est à l’initiative d'un imprimeur marseillais, Fleury Mesplet, que l'on doit la création du premier journal de langue exclusivement française au Québec. Fondé en 1778, Gazette littéraire de Montréal, devient du même coup le premier journal à être imprimé dans cette ville3,4.
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Wé wé wé....
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Le saule (Salix) est un genre d'arbres, d'arbustes, d'arbrisseaux de la famille des Salicacées (Salicaceae). Il comprend 360 espèces environ, réparties à travers le monde, principalement dans les zones fraîches et humides des régions tempérées et froides de l'hémisphère nord.
- Une rangée régulière de saules est dénommée une saulée1.
- Une saulaie est un endroit où poussent des saules, tout comme une saussaie, terme vieilli et régional.
Sommaire
1 Étymologie 2 Caractères généraux 3 Distribution 4 Principales espèces 5 Les Salix et l'humain 5.1 Utilisation 5.2 Symbolique, religion et superstitions 5.3 Littérature 5.4 Aspects culturels 5.4.1 Au Japon 6 Insectes se nourrissant de saule 7 Champignon parasite 8 Notes et références 8.1 Notes 8.2 Références 9 Voir aussi 9.1 Article connexe 9.2 Bibliographie 9.3 Liens externes
Étymologie
Le terme français saule est issu du vieux bas francique *salha (cf. vieil anglais salh, vieux haut allemand salaha), héritier du germanique *salχazNote 1,2. Le français saule, le germanique salχaz et l'anglais willow sont issus de la même racine indo-européenne wel signifiant « rouler, tourner », allusion à la flexibilité du bois et l'utilisation des pousses et des branches pour tisser des paniers, fabriquer des clôtures3.
Si la racine est la même (*sal-), il ne continue donc pas le latin salix, accusatif salĭcem, lequel est en revanche à l'origine des formes d'ancien français saus et sausse (conservés dans certains dialectes) et de saussaie (qui vient de salicetu) « endroit planté de saules, saulaie » (en toponymie Saussay, Saussaye, Sauchay, Saulchoy, etc.).
Caractères généraux
La cire blanche du saule et une lenticelle.
Le chaton de saule.
Les feuilles sont caduques, alternes, ovales ou lancéolées. Les fleurs sont réunies en chatons dressés, mâles ou femelles, portés par des pieds différents (plantes dioïques). Chaque fleur est portée par un nectaire, qui correspond au périanthe, et protégée par une bractée ciliée.
La fleur mâle, minuscule, comporte deux à cinq étamines, et les fleurs mâles sont les seules qui aussi portent du pollen.
La fleur femelle ne comprend qu'un seul ovaire, uniloculaire mais à deux carpelles. Les fleurs femelles fécondées forment des capsules à deux valves, qui libèrent des graines cotonneuses. Les saules peuvent être anémochores (pollinisés par le vent) ou entomochores (pollinisés par les insectes).
Les nombreux hybrides rendent souvent la détermination difficile.
La plupart des saules se couvrent à l'automne d'une cire blanche qui les protège pendant l'hiver. Comme toutes les cires, celle-ci est hydrophobe, c'est-à-dire qu'elle ne laisse pas passer l'eau. Cette propriété protège l'arbre de la déshydratation pendant l'hiver mais rend aussi la respiration plus difficile. Pour résoudre ce problème, l'arbre est équipé de lenticelles.
Distribution
Un Salix 'Chrysocoma' éclairé par le couchant, près de l'Avon (Nouvelle-Zélande). Août 2019.
Saules et bouleaux sont les premiers arbres à coloniser les friches, surtout les berges de rivières. En effet, le saule a besoin d'un terrain nu et de beaucoup de lumière ; l'eau est un caractère important pour son développement. Il est plutôt acidicline et s'installe sur des sols à pH allant de 5,5 à 7,5. Il préfère les sols légers et humides tels que les alluvions des bords de cours d'eau.
Principales espèces
- Salix acutifolia Willd.
- Salix aegyptiaca L. - Saule d'Égypte
- Salix alaxensis (Andersson) Coville - Saule d'Alaska
- Salix alba L. - Saule blanc
- Salix amplexicaulis Bory & Chaub.
- Salix amygdaloides Andersson - Saule à feuilles de pêcher
- Salix apennina A.K.Skvortsov - Saule des Apennins
- Salix apoda Trautv.
- Salix appendiculata Vill.
- Salix arbuscula L.
- Salix arctica Pall.
- Salix argyracea E.L.Wolf
- Salix arizonica Dorn - Saule d'Arizona
- Salix armenorossica A.K.Skvortsov - Saule d'Arménie
- Salix atrocinerea Brot. − Saule roux
- Salix aurita L. - Petit marsault
- Salix babylonica L. - Saule pleureur
- Salix balfouriana C.K.Schneid.
- Salix barclayi Andersson
- Salix bebbiana Sarg.
- Salix bicolor Willd. - Saule bicolore
- Salix bikouensis Y.L.Chou
- Salix bonplandiana Kunth - Saule de Bonpland
- Salix brachycarpa Nutt.
- Salix breviserrata Flod.
- Salix burjatica Nasarow
- Salix burqinensis Chang Y. Yang
- Salix caesia Vill.
- Salix calliantha J.Kern.
- Salix calodendron
- Salix candida Flüggé ex Willd.
- Salix cantabrica Rech.f. - Saule de Cantabrique
- Salix capensis Thunb.
- Salix capitata Y.L.Chou & Skvortsov
- Salix caprea L. - Saule marsault
- Salix capusii Franch.
- Salix carmanica Bornm.
- Salix caroliniana Michx. - saule de Caroline
- Salix caspica Pall.
- Salix cavaleriei H.Lév.
- Salix chaenomeloides Kimura
- Salix cinerea L. - Saule cendré
- Salix cordata Michx. - Saule à feuilles en forme de cœur
- Salix daphnoides Vill. - Saule daphné
- Salix discolor Muhl.
- Salix drummondiana Barratt ex Hook. - Saule de Drummond
- Salix elaeagnos Scop.
- Salix eriocephala Michx.
- Salix excelsa S.G.Gmel.
- Salix exigua Nutt.
- Salix fargesii Burkill - Saule de Farges
- Salix floderusii Nakai
- Salix fluviatilis Nutt. (syn. Salix exigua var. sessilifolia)
- Salix foetida Schleich. ex DC. - Saule fétide
- Salix fragilis L. - Saule fragile
- Salix geyeriana Andersson - Saule de Geyer
- Salix gilgiana (Seemen)
- Salix glabra Scop., Saule glabre
- Salix glauca L. - Saule glauque
- Salix glaucosericea Flod.
- Salix gooddingii C.R.Ball - Saule de Gooding
- Salix gordejevii Y.L.Chang & Skvortsov
- Salix graciliglans Nakai
- Salix gracilistyla Miq.
- Salix hastata L.
- Salix hegetschweileri Heer
- Salix helvetica Vill. - Saule suisse
- Salix herbacea L. - Saule herbacé
- Salix hookeriana Barratt ex Hook. - saule de Hooker
- Salix humboldtiana Willd. - Saule du Chili
- Salix humilis Marshall
- Salix hylematica C.K.Schneid.
- Salix integra Thunb.
- Salix irrorata Andersson
- Salix japonica Thunb. - Saule du Japon
- Salix jessoensis Seemen - Saule de Jesso
- Salix koreensis Andersson - Saule de Corée
- Salix koriyanagi Kimura ex Goerz
- Salix laevigata Bebb - Saule rouge
- Salix laggeri Wimm. - Saule de Lagger
- Salix lanata L. - Saule laineux
- Salix lapponum L. - Saule des Lapons
- Salix lasiolepis Benth.
- Salix lemmonii Bebb
- Salix lindleyana Wallace ex Andersson
- Salix linearistipularis (Franch.) K. S. Hao
- Salix longiflora Andersson
- Salix longistamina Z. Wang & P. Y. Fu
- Salix lucida Muhl.
- Salix luctuosa H.Lév.
- Salix magnifica Hemsl., Saule magnifique
- Salix matsudana Koidz. - Saule tortueux
- Salix maximowiczii Kom. - Saule de Maximowicz
- Salix medwedewii Dode - Saule de Medwedew
- Salix melanopsis Nutt.
- Salix microstachya Turcz.
- Salix mielichhoferi Saut., syn. de Salix myrsinites
- Salix miyabeana Seemen
- Salix moupinensis Franch.
- Salix muscina Dode ex Flod.
- Salix myricoides Muhl. - Saule tamaris
- Salix myrsinifolia Salisb. - Saule noircissant
- Salix myrsinites L., syn. de Salix mielichhoferi Tausch ex Anderss.
- Salix myrtilloides L. - Saule fausse myrtille
- Salix neowilsonii W.P.Fang
- Salix nigra Marshall - Saule noir (Amérique du Nord)
- Salix nivalis Hook. - Saule des neiges, syn. de Salix reticulata
- Salix pantosericea Goerz
- Salix paraplesia C.K.Schneid.
- Salix pauciflora Koidz.
- Salix pedicellata Desf.
- Salix pellita Andersson
- Salix pentandra L.
- Salix petiolaris Sm., syn. de Salix sericea
- Salix phlebophylla Andersson
- Salix phylicifolia L.
- Salix planifolia Pursh
- Salix polaris Wahlenb.
- Salix psammophila Z. Wang & Chang Y. Yang
- Salix purpurea L. - Saule pourpre
- Salix pyrenaica Gouan - Saule des Pyrénées
- Salix pyrifolia Andersson
- Salix pyrolifolia Ledeb.
- Salix rehderiana C.K.Schneid.
- Salix repens L. - Saule rampant
- Salix reptans Rupr.
- Salix reticulata L.
- Salix retusa L. - Saule à feuilles rétuses
- Salix retusoides J.Kern., syn. de Salix retusa4
- Salix rorida Lacksch.
- Salix rosmarinifolia L. - Saule à feuilles de romarin
- Salix sajanensis Nasarow
- Salix salviifolia Brot.
- Salix schwerinii E.L.Wolf
- Salix scouleriana Barratt ex Hook.
- Salix sericea Marshall, syn. de Salix petiolaris
- Salix serissima (L.H.Bailey) Fernald
- Salix serpyllifolia Scop. - Saule à feuilles de serpolet
- Salix silesiaca Willd.
- Salix sitchensis C.A.Sanson ex Bong.
- Salix siuzevii Seemen
- Salix starkeana Willd.
- Salix subopposita Miq.
- Salix subserrata Willd.
- Salix suchowensis W.C.Cheng
- Salix sungkianica Y.L.Chou & Skvortsov
- Salix taxifolia Kunth - Saule à feuilles d'if
- Salix tenuijulis Ledeb.
- Salix tetrasperma Roxb.
- Salix triandra L. - Saule à trois étamines
- Salix turanica Nasarow
- Salix udensis Trautv. & C.A.Mey.
- Salix uva-ursi Pursh
- Salix variegata Franch.
- Salix viminalis L. - Saule des vanniers ou Osier vert
- Salix vulpina Andersson - Saule des renards
- Salix waldsteiniana Willd. - Saule de Waldstein
- Salix wallichiana Andersson
- Salix wilhelmsiana M.Bieb.
- Salix wilsonii Seemen - Saule de Wilson
- Salix yezoalpina Koidz.
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ahahahahaha cette phrase est iconique je sais pas qui a commencé à la sortir mais ça doit être un génie
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Bon bah au final 4 ans après pour le retour.
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Un fantôme! 'o'
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Mais grave, je me souviens encore en 2018 j'ai dis ''d' ici 1 an'' bah dis-donc j'ai pris mon temps... 🤣
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Bah tu sais, c'est bien de prendre son temps des fois.
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Vous débordez O_O
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Exactement!